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Ladakh

Entre Himalaya et Karakorum, aux confins de l’Union indienne et à l’ombre de sommets aux à-pics vertigineux, le Ladakh est une région de hautes montagnes extraordinaire, dont les vallées habitées se situent entre 2800 et 4500 mètres d’altitude. Ses hauts plateaux offrent au visiteur l’incroyable beauté d’un univers minéral aux étonnantes variations de couleurs, parsemé d’oasis de peupliers, de saules et d’abricotiers. Ses villages, harmonieuses touches de couleurs dans cet univers de sable et de pierre, comptent parmi les derniers bastions de la culture et du mode de vie du Tibet voisin, et le bouddhisme, omniprésent, est pratiqué librement dans les innombrables monastères jalonnant pistes et vallées.

Ladakh sur mesure

Une autre Inde, loin des palais du Rajasthan, des temples du Tamil Nadu ou des plantations du Kerala. Le Ladakh est au cœur de l’univers himalayen : il constitue un voyage en soi, très loin du reste du sous-continent.


 Plusieurs problématiques sous-tendent un voyage au Ladakh.

Le climat tout d’abord.

La région connait un climat extrême : très froid en hiver (octobre à avril), chaud ou très chaud en été (juin à septembre), même les amplitudes de températures restent élevées, et les nuits sont (très) fraîches. Le Ladakh est avant tout une destination d’été.

L’altitude ensuite.

Dans cette région de haute altitude, il faut prendre en compte la possibilité du mal des montagnes. Généralement, il ne se manifeste que par des maux de tête ou des essoufflements, rarement par des nausées. Il faut donc éviter de s’activer les deux premiers jours, éviter les efforts brusques et intenses. Les moments délicats sont les passages des cols, entre deux vallées, puisque ceux-ci peuvent monter au dessus de 5000 mètres.

Attention cependant : le climat ni l’altitude ne doivent être rédhibitoires. Le Ladakh reste aisément accessible et visitable. Nous sommes là pour vous conseiller.

L’accès enfin, il fait partie du voyage. Il peut se faire par avion ou par la route.

Entre avril et octobre, depuis Delhi, plusieurs compagnies opèrent des vols quotidiens pour desservir Leh. Les départs de Delhi ont lieu très tôt le matin, compte tenu des vents forts se levant dans l’Himalaya vers 9/10 heures le matin.

La route la plus utilisée de nos jours se situe par l’est et la région de l’Himachal Pradesh : train entre Delhi et Chandigarh, puis route vers Manali, à l’assaut des fameux « hauts cols ».

 Note importante sur les festivals

Dans tous les monastères de la région, chaque année, selon des dates décidées par les oracles, ou dépendant de certaines lunes, ont lieu des festivals de danses masquées commémorant l’histoire du bouddhisme, de ses grands initiateurs, des rois qui ont joué un rôle important dans la religion, mais surtout la vie de Padmasambhava, Guru Rimpoche, qui introduisit le bouddhisme au Tibet, et donc dans les régions voisines. Les fêtes peuvent durer plusieurs jours. Hemis est considéré comme le festival le plus important, et ses fêtes donnent lieu à de grands rassemblements populaires.

Le monde himalayen … Loin de l’agitation et des foules, découvrez, de monastères en vallées, le Ladakh sur-mesure des Clés du Monde !

LE MOT DE L'EXPERT

Bruno Bara

"Entre Himalaya et Karakorum, aux confins de l’Union indienne et à l’ombre de sommets aux à-pics vertigineux"

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Les Incontournables

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  • Extraordinaires : les grands lacs [ Voir sur la carte ]

    Trois grands lacs méritent le voyage. Tso Khar et Tso Moriri sont situés dans la spectaculaire région de la Rupshu, à l’extrême est du Ladakh. Pangong Tso, aux eaux d’un bleu transparent, est lui accessible par le monastère de Tak Tak, ou par la vallée de la Nubra. Outre des panoramas à couper le souffle, ils permettent se familiariser avec la vie des nomades, qui se déplacent dans la région, au gré des saisons et de la richesse des pâturages, accompagnés par leurs troupeaux de yaks et de chèvres.

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  • La vallée de Da-Hanu [ Voir sur la carte ]

    Une excursion rare, au départ de Lamayuru, dans un petit monde oublié aux paysages magnifiques. L’Indus n’est encore qu’un gros torrent. Se balader à travers les hameaux permet d’aller à la rencontre de la population. En été, c’est aussi un véritable émerveillement tant les villages sont fleuris.

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  • La vallée de la Nubra [ Voir sur la carte ]

    Blottie au pied du grand Karakorum, isolée du reste du Ladakh par le col du Khardong-La qui s’élève à 5350 mètres, la vallée de la Nubra est un paradis. Elle est ponctuée d’oasis où on cultive fruits et céréales, dans un paysage de rocaille et de dunes de sables, le tout sur fond de sommets enneigés.

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  • La vallée du Zanskar [ Voir sur la carte ]

    Une des régions himalayennes les plus isolées, dont les villages sont coupés du monde huit mois par an par le froid, l’altitude et la neige. On vit en quasi autarcie dans ces paysages spectaculaires, où les villages sont austères mais adoucis par le vert éclatant des champs en terrasses. Depuis la petite capitale Padum, quelques monastères sont accessibles en marchant un peu depuis la piste qui traverse la vallée.

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  • Leh [ Voir sur la carte ]

    A 3500 mètres d’altitude, l’ancienne capitale du royaume du Ladakh est votre porte d’entrée – et d’acclimatation – au Ladakh. Dominée par son palais, c’est une jolie bourgade qui s’étend magnifiquement le long des rives de l’Indus et dont le centre-ville est organisé autour du bazar, vivant et cosmopolite.

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  • Les monastères de la basse vallée [ Voir sur la carte ]

    Par une route extraordinaire traversant gorges et plateaux, on longe l’Indus vers Lamayuru, dans un monde minéral semé de villages aux cultures et vergers, adoucissant les tons dégradés d’ocres et de jaune des roches et sables qui parsèment l’environnement.

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  • Les monastères de la haute vallée [ Voir sur la carte ]

    En longeant le « fleuve lion » sur la route qui part vers Manali et l’Himachal Pradesh, les monastères de la haute vallée de l’Indus furent construits à l’époque de la dynastie des Namgyal, qui prit le pouvoir en 1470 et régna jusqu’en 1842, au moment de l’instauration du Protectorat Britannique.

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  • Le budget

    Voici quelques suggestions de voyage et de budget :

    Nous vous conseillons au moins 10 jours sur place (auxquels il faudra ajouter 1 ou 2 jours de transit à Delhi). Dans ce cas, vous irez au long de la vallée de l’Indus et découvrirez les principaux monastères. Comptez, en fonction des prestations choisies, un budget à partir de 2500 € par personne.

    Avec trois à quatre jours de plus, montez au Ladakh par la mythique Route des Hauts Cols. Cela demande un peu d’effort, mais les paysages sont proprement sidérants. Comptez, en fonction des prestations choisies, un budget à partir de 2800 € par personne.

    Encore quelques jours de plus, et vous pourrez pousser jusqu’aux lacs, Tso Khar, Tso Moriri, Pangong Tso, ou vers les vallées de la Nubra, de Da-Hanu ou du Zanskar. Cela demande un peu de préparation, mais ce voyage est accessible ; il est surtout merveilleux. Comptez, en fonction des prestations choisies, un budget à partir de 3000 € par personne.

    Les suggestions ci-dessus incluent les vols internationaux en classe Eco et les taxes afférentes, l’hébergement en chambre double, les transports en véhicule privé avec chauffeur, les services de guides locaux au Ladakh, les visites.

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